Le plancher m'appelle..

souvenez-vous , c'était hier à la Guilde (et non l'année dernière à Marienbad, pour les amateurs de jardinière de légumes)...

ça détruisait sec , dans la grange de la Guilde...nous n'avions déjà plus de plafond entre le plancher des vaches et le toit...mais nous avions encore un mur entre les deux pièces que comptait ladite grande ab initio.

En rentrant ce soir, bien que n'ayant toujours pas vu âme qui vive, j'ai eu l'honneur de noter un changement digne d'intérêt:

La séparation entre les deux pièces a bel et bien disparu!

il est plus qu'émouvant de voir que seule subsiste la porte, nue, de feu la cave..même l'ignoble personnage est sorti de sa salle de bains pour se joindre à la cérémonie..

nous sommes en état de choc.. le lecteur attentif pourra remarquer la présence de notre amie la tondeuse, jusqu'ici tout va bien..

toutefois, il me semble que notre ami le maçon fait des journées de fonctionnaire..j'ai en effet quitté la Guilde ce matin aux alentours de 8h, et l'ai réintégrée à 17h15.Les lieux étaient déjà déserts...voilà qui ne m'arrange pas, dans la mesure où je voudrais bien signifier à notre ami le maçon mon choix en terme de portail..

mais il doit avoir quitté les lieux de bonne heure, afin de se plonger dans la lecture passionnate qu'il aura sûrement en cours:

ah! l'heureux homme...

Comments

[pith]

pour synthetiser ce post, rien ne vaut finalement une citation de goldorak tirée du roman le plus passionnant de la terre, avec explications entre parenthèses......

"Sans poser de question elle (la maitresse de la guilde) l'introduit (toi,lecteur) dans un salon très encombré (la grange), meublé à l'ancienne mode(avec brouette et tondeuse), où elle lui désigne un siège en tapisserie (ls sacs de ciment)"